Vitesse en sérénité.
Je respire. Je respire, vraiment. Mes poumons ont doublé. Ils s’ouvrent, cavernes immenses capables d’engloutir l’absolu de l’univers. Je suis une forêt poussin qui éclot sous l’humus du ciel.
Je respire. Je respire, vraiment. Mes poumons ont doublé. Ils s’ouvrent, cavernes immenses capables d’engloutir l’absolu de l’univers. Je suis une forêt poussin qui éclot sous l’humus du ciel.
Vous cherchez une saga de fantasy historique haute en couleur dont il est impossible de décrocher? J’ai lu pour vous le Bâtard de Kosigan!
Je ne sais plus lequel des auteurs de notre petit groupe a eu l’idée de ce thème (Mickaël?). Il ne me parlait pas. Mais vraiment pas.
Et pourtant…
e tenais ce soir à vous partager deux lectures que j’ai apprécié et qui ont un point commun : sortir des sentiers battus de la culture occidentale pour nous faire découvrir d’autres horizons. Ce qui est particulièrement appréciable en ce moment, n’est-ce pas?
Le temps file… plus d’un mois que j’ai fini le 1er jet de Hope. J’ai employé trois semaines à relire les 550ksec pour rendre un manuscrit à peu près lisible. Cette histoire continue de me surprendre. Comment cette petite nouvelle s’est-elle transformée en un roman capable de me faire oublier mon propre filtre d’écrivaine? La réponse est là, justement. Pas de filtre.
Le monde n’existe plus. Le temps s’est suspendu.
Arrachée à notre réalité, j’erre dans une autre dimension.
Mes doigts volent sur le clavier. Les mots apparaissent sous mes yeux. Je n’écris pas, non. Je lis mon propre roman.
Non, ne vous fiez pas au titre, je ne veux rien vous vendre, je vous assure. Je voulais vous parler depuis un mois déjà d’un coup de coeur sur une belle histoire d’amour… et vu la période, je me dis que je vais rajouter également mon autre chouchou dans cette catégorie « roman graphique tout doux ».
Cette année, Critic a rassemblé plusieurs plumes pour rendre à J-P Hérault. Chaque auteur s’empare de la thématique à sa façon, donnant à lire une belle diversité dans un univers qui garde une cohérence globale. Il y a de superbes récits dans ce recueil, des vrais coups de coeur!
Lundi 11 janvier à 23h47, j’ai posé sur le papier (numérique!) le dernier mot de mon premier roman. Ou du moins, de mon 1er jet. Un moment intense, qui m’a procuré une joie incroyable, après 4 jours d’intense écriture. Qu’ai-je retiré de cette expérience?
Le sujet de notre rencontre d’écrivain était, ce janvier, « le cadeau empoisonné ». Je vous laisse découvrir le texte que j’ai rédigé, très inspiré d’une scène (presque) vécue. Pour une fois, pas d’imaginaire!