3ème semaine de DromA – Où pourquoi on appelle le NanoWriMo « Marathon d’écriture »

Voilà que se termine ma 3ème semaine de DromA – 220ksec au compteur sur 300, j’approche les 3/4 du texte. Je suis régulière, je touche mon manuscrit tous les jours. 2h par jour la semaine, 4 à 5h par jour le week-end. Parfois, je n’écris que quelques signes en 2h. Parfois, j’enchaîne un chapitre entier! Il n’y a pas de règles dans l’écriture. Moi qui ai besoin de tout contrôler, je me rends compte que j’aime ça. Pas d’attente, pas de codes, pas d’anticipation. Je me mets devant mon écran, je vois ce qu’il se passe. Jubilation ou effort, la répétition de l’acte d’écrire au quotidien fait que, même si je préfère la première option, la seconde est rentrée dans les moeurs.

Mon 1er salon littéraire en tant qu’autrice – ou quand le syndrome de l’imposteur fait oublier les basiques commerciaux!

Aujourd’hui, j’ai vécu mon 1er salon littéraire en tant qu’autrice! Un énorme plaisir, mais une petite angoisse aussi : comment faire pour vendre ses livres, sans avoir l’impression d’être un marchand de tapis et en respectant le lecteur? Hé bien, s’intéresser à ses besoins, et ne pas douter de la valeur de son histoire!

Être et ne pas avoir

Etre écrivain est souvent une activité solitaire que l’on réalise en cati-mini, dans un coin, bien loin de notre vie « professionnelle », de notre quotidien fait de réunions sérieuses et de comptabilité prévisionnelle. J’ai décidé d’assumer ma double-vie, y compris dans mon travail pourtant bien éloigné de la littérature. Être et ne pas avoir…