Bienvenue 2021!

Le passage d’une année à l’autre tient plus du symbolisme qu’autre chose. Le rythme de la vie est bien plus présent dans les passages des saisons, les équinoxes et les solstices que le jour de la St Sylvestre. Et pourtant… les symboles, ça compte. L’être humain est un concentré de croyances et de rites, qui l’aident à trouver des repères. Le début de l’année est ainsi la meilleure occasion qui soit pour regarder en arrière, prendre un départ ou, tout simplement, voir le chemin accompli et continuer modestement sur la même route.

Merci 2020

Hey toi, là!
Oui, toi qui t’enfuis en catimini comme si tu avais le monde aux trousses, toi l’année 2020… t’en vas pas comme ça!
Hey, reste encore un peu, t’es bien pressée là… On est pas encore minuit. Chaque minute, chaque seconde compte. Allez, viens t’asseoir avec moi.

3ème semaine de DromA – Où pourquoi on appelle le NanoWriMo « Marathon d’écriture »

Voilà que se termine ma 3ème semaine de DromA – 220ksec au compteur sur 300, j’approche les 3/4 du texte. Je suis régulière, je touche mon manuscrit tous les jours. 2h par jour la semaine, 4 à 5h par jour le week-end. Parfois, je n’écris que quelques signes en 2h. Parfois, j’enchaîne un chapitre entier! Il n’y a pas de règles dans l’écriture. Moi qui ai besoin de tout contrôler, je me rends compte que j’aime ça. Pas d’attente, pas de codes, pas d’anticipation. Je me mets devant mon écran, je vois ce qu’il se passe. Jubilation ou effort, la répétition de l’acte d’écrire au quotidien fait que, même si je préfère la première option, la seconde est rentrée dans les moeurs.

S’écouter parler et s’envoler

Photo by Sudhith Xavier on Unsplash

Quel titre prétentieux, n’est-ce pas? 😉 Je vous interpelle ainsi pour vous partager l’expérience révélatrice que j’ai eu lorsque que Mickaël m’a interviewé pour son podcast Double-Vie. 49min de discussions qui m’ont permis de faire un point d’étape et me rendre compte du chemin parcouru, de l’aide précieuse de tous ceux que j’ai croisé en route et du beau résultat qui en résulte : mon envol vers l’épanouissement!

Mon 1er salon littéraire en tant qu’autrice – ou quand le syndrome de l’imposteur fait oublier les basiques commerciaux!

Aujourd’hui, j’ai vécu mon 1er salon littéraire en tant qu’autrice! Un énorme plaisir, mais une petite angoisse aussi : comment faire pour vendre ses livres, sans avoir l’impression d’être un marchand de tapis et en respectant le lecteur? Hé bien, s’intéresser à ses besoins, et ne pas douter de la valeur de son histoire!

Être et ne pas avoir

Etre écrivain est souvent une activité solitaire que l’on réalise en cati-mini, dans un coin, bien loin de notre vie « professionnelle », de notre quotidien fait de réunions sérieuses et de comptabilité prévisionnelle. J’ai décidé d’assumer ma double-vie, y compris dans mon travail pourtant bien éloigné de la littérature. Être et ne pas avoir…